le courage d'une mère

Le combat d’une mère, qui, condamnée à une mort imminente, se démène pour trouver une famille d’accueil qui s’occupera et protégera ses quatre enfants. Son histoire et sa personnalité ont bouleversé la France entière.

Comment vivre la fin de sa vie, quand on n’a pas quarante ans et qu’on est mère de famille ? L’automne dernier, Marie-Laure Picat apprend qu’elle est atteinte d’un cancer fatal à court terme. Sa première pensée est pour ses enfants : que deviendront-ils après sa mort ? Résolue à assumer son rôle de mère jusqu’au bout, elle choisit elle-même une famille d’accueil. Aussitôt, elle se heurte à une fin de non-recevoir : non, ce n’est pas à elle de décider du futur de ses enfants mais au juge, après sa mort. Non, rien ne garantit que Julie, Thibault, Matthieu et Margot seront élevés ensemble. Non, ils n’habiteront pas là où ils ont grandi.

Révoltée par l’aberration de la situation, Marie-Laure alerte les médias. Alors, un extraordinaire mouvement de solidarité se met en place, la presse relaye son message : le courage de cette jeune maman émeut le pays et elle reçoit un soutien inespéré.

C’est pour laisser une trace que Marie-Laure a voulu écrire ce témoignage, pour ses enfants d’abord et aussi pour montrer qu’il faut assouplir le carcan administratif imposé aux familles dans la détresse. Pour que son combat ne meure pas avec elle.
L’Avis de la presse

« Un témoignage exceptionnel [...]. Avec vérité et beaucoup d’affection, oubliant son mal [...] [Marie-Laure Picat] témoigne de cette vie, de son acharnement pour le bonheur de ses enfants. Des pages émouvantes qui montrent que la volonté peut vaincre les règles administratives. » L’Écho de l’ouest

« Un récit poignant. » Femme Actuelle

« Un livre triste et drôle à la fois. » Le Parisien/Aujourd’hui en France

« Sans détour, sans retenue, naturel et brut de décoffrage, à l’image du personnage [...]. Un témoignage poignant, sans concession. Une leçon de vie et de courage. » La République du Centre

« Le témoignage de Marie-Laure Picat qui a ému la France entière est bouleversant. Pour autant, c’est aussi un livre plein d’optimisme, plein d’humour qui nous incite à ne jamais, quelle que soit la situation, baisser les bras. » Nord Éclair

« Une leçon de dignité et de courage. » La Montagne


Le combat d’une mère, qui, condamnée à une mort imminente, se démène pour trouver une famille d’accueil qui s’occupera et protégera ses quatre enfants. Son histoire et sa personnalité ont bouleversé la France entière.

Comment vivre la fin de sa vie, quand on n’a pas quarante ans et qu’on est mère de famille ? L’automne dernier, Marie-Laure Picat apprend qu’elle est atteinte d’un cancer fatal à court terme. Sa première pensée est pour ses enfants : que deviendront-ils après sa mort ? Résolue à assumer son rôle de mère jusqu’au bout, elle choisit elle-même une famille d’accueil. Aussitôt, elle se heurte à une fin de non-recevoir : non, ce n’est pas à elle de décider du futur de ses enfants mais au juge, après sa mort. Non, rien ne garantit que Julie, Thibault, Matthieu et Margot seront élevés ensemble. Non, ils n’habiteront pas là où ils ont grandi.

Révoltée par l’aberration de la situation, Marie-Laure alerte les médias. Alors, un extraordinaire mouvement de solidarité se met en place, la presse relaye son message : le courage de cette jeune maman émeut le pays et elle reçoit un soutien inespéré.

C’est pour laisser une trace que Marie-Laure a voulu écrire ce témoignage, pour ses enfants d’abord et aussi pour montrer qu’il faut assouplir le carcan administratif imposé aux familles dans la détresse. Pour que son combat ne meure pas avec elle.


L’Avis de la presse


« Sans détour, sans retenue, naturel et brut de décoffrage, à l’image du personnage [...]. Un témoignage poignant, sans concession. Une leçon de vie et de courage. » La République du Centre

« Le témoignage de Marie-Laure Picat qui a ému la France entière est bouleversant. Pour autant, c’est aussi un livre plein d’optimisme, plein d’humour qui nous incite à ne jamais, quelle que soit la situation, baisser les bras. » Nord Éclair

« Une leçon de dignité et de courage. » La Montagne



Alors ça c'est le résumé.

voilà ce que j'en ai pensé.

Moi aussi je suis une maman, moi aussi je ne suis pas immortelle, moi aussi j'ai des enfants.

je n'ai pas voulu lire ce livre pour être indiscrète, je voulais comprendre son combat, comment lorsque que l'on se sait condamné, on arrive à tout gérer de front.

J'ai lu le livre en seulement 4h environ, j'en ai pleuré, j'avais les larmes aux yeux, son combat contre la maladie n'est rien, le cancer tout le monde peut en souffrir, mais son récit de la vie de tout les jours est brut de décoffrage, ses enfants, il fallait qu'elle puisse en profiter le plus possible, empêcher qu'ils ne soient séparer.

plus jamais je ne verrais la vie autrement.

c'est le livre le plus dur que je n'ai jamais lu, d'un côté je le conseille puisque son combat contre l'administration a changer des tas de choses, en même temps je le déconseille fortement pour tou(te)s les âmes sensibles, pour lire ce témoignage il faut avoir les tripes bien accrochées.

rien que le résumé et j'ai les larmes qui viennent donc je pense que je suis pas prête à le lire, mon coeur d'artichaud ne le supporterait pas.

mais je pense que ça doit être un livre magnifique, de ceux que l'on oublie pas, qui nous font voir la vie différemment.

son histoire a vraiment fait bouger quelque chose niveau loi ?

ben moi vu qu'en ce moment le moral est pas jojo je vais me le mettre sous le coude pour plus tard hein!

je ne doute pas que ce livre soit une leçon de courage, mais impossible de le lire pour moi
imaginer ma chouquette seule, c'est impossible, je peux pas, ça me fait pleurer.
je suis incapable de lire ou de parler de la mort sans faire le rapprochement avec mes proches

moi je te dis bravo Vidia d avoir lu ce livre
je connaissais l histoire de cette femme mais je ne savais qu elle avait sorti un livre
franchement même s il est dur j ai envie de le lire car son courage doit être lu et raconté pour ne pas être oublié
de plus son combat peut être sera le notre un jour or elle est passé par là et doit donner des astuces pour réussir donc a lire pour savoir quoi faire si un jour ...
je me le procurerai et je le lirai même s il fait pleurer c est une leçon de vie que l on devrait tous apprendre
tout ca n est que mon point de vue perso

je ne pense pas avoir fait preuve de courage en lisant son livre, je pense plus que c'est un devoir de mémoire.

On connait tous l'histoire de france, les guerres, l'holocaust, on sait qu'on ne doit pas oublier, pour les générations futures.

pour ce livre, je pense que c'est la même chose, elle à commencé à faire bouger les choses, le soucis, c'est que j'ai beau cherché je ne trouve aucun truc qui correspond à une loi ou un truc comme ça qui parle de se qui se passe après la disparition des parents.

Je ne sais pas si son histoire à fait réellement bouger les choses, mais je sais maintenant que si je me retrouvais dans son cas, les portes je pourrais les enfoncées, son courage je pense que je pourrais l'avoir.

je suis comme toi paf, impossible de parler de la mort sans me rappeller la réalité à savoir qu'un jour j'y passerais, mon homme, ma famille et mes filles. ça me terorrise !

zappons brrrrrrrrrrrrrrrrrrr

en tant que maman je pense que dans la même situation qu'elle on ferait tout pour que nos enfants en patissent le moins possible.

mais j'avoue que je comprend pas trop pourquoi tu parles du devoir de souvenir. ce que tu cites oui on se doit de pas l'oublier. ce qu'a vécu cette femme n'est pas du même acabit, elle a ouvert un tantinet la voie, mais je pense pas que ça ait fait bouger bcp de choses. la france est un pays conservateur quoi qu'on en dise, certains droits sont encore bafoués, de vieilles régles restent en vigueur, des trucs cons et complétement dépassés et je pense qu'une femme seule ne fera pas grand chose. même si ce combat là est essentiel.

pour nana, je ne suis pas vexée, et j'étais trop occupé pour te répondre.


quand je parle de devoir de mémoire, c'est sur le principe !

je sais qu'une femme seule ne peut rien faire changer d'un coup de baguette magique, même si elle explique bien dans son livre qu'elle en a parlé avec notre cher président, avec des tas de personnes bien placées, et que selon leurs dire les médias ne lâcherons pas l'affaire.

Mais nous à notre niveau, si nous oublions le combat qu'elle a mené, si on reste dans nos chaumières à ce dire que ça ne nous concerne pas..... le chemin qu'elle a fait, les portes qu'elle a enfoncé, se refermerons.

Cela fait 9 mois qu'elle est partie, ou en ai le processus, je ne le sais pas, je n'ai rien trouvé qui en parle, mais si nous oublions tous, rien ne bougeras, et comme tu dis avec notre pays conservateur, nos lois de 1800 idiotes et dépassées ne changerons jamais.

J'ai appris il y a longtemps que pour qu'une loi entre en vigueur, il faut plus d'un an, j'espère que celle qui permets au parents de choisir où vivront leurs enfants mineurs après leurs disparition prendra effet prochainement.

mais si dans 1, 2 ans nous avons tous oubliés, son combat n'aura servi à rien.

voilà pourquoi je parle du devoir de mémoire. Je m'étais peut être mal exprimé, maintenant tu comprends mieux ????

ah là oui je comprend mieux

as tu essayé de voir si une association a été crée suite à son combat ?

j'ai cherché, tout ce que j'ai trouvé, c'est des comm's suite à son livre, mais rien d'autre.

Zut j'avais écrit un truc et en appuyant
pouff disparut
bon je disais.

Pas en ce moment
je veux de la gaité du soleil des rires et des chansons
je fais la politique de l'autruche
pour l'instant
je ne veux plus me plonger dans les livres
qui deviennent tremper de larmes
bref je suis une lache qui n'assume pas trop en ce moment

tu n'es pas une lache, pas du tout !!

parfois les coups durs, la méchanceté de la vie, la tristesse que nous procurent les départs, les déceptions font que l'on veut du soleil dans notre vie.
parfois on a vu tellement de choses moches que l'on veut voir le beau, le doux, le tendre.
parfois on a si peu d'amour, que l'on en veut plein
parfois on a trop pleuré et on veut des rires et des chants

parfois on a tout simplement envie et besoin de rire, d'être heureux, d'avoir plein de jolies choses et mots en tête

ça n'est pas faire l'autruche, c'est prendre le bon côté de la vie en mettant un cours instant la mocheté de côté.

j'adhere completement a ce que vous dites nirvanana et nana

ça reflete tout a fait mon etat d'esprit actuel

et le miens au aussi

Bon j'ai eu peur
c'est vrai que parfois comme dit nana
on veut du soleil et de la gaité

j'imagine le tableau

il pleut et fait froid
le chauffage ne marche plus
il reste un cafard mort au fond de notre tasse de café
on a une méga rage de dent
la voisine mets du hard rock à fond à 2 heures du matin
et en + on lis un bouquin
dont le titre est : comment en finir avec la vie